Type de texte | source |
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Titre | Voyage d\'Italie |
Auteurs | Sade, Donatien Alphonse François |
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Titre traduit | |
Auteurs de la traduction | |
Date de traduction | |
Date d'édition moderne ou de réédition | 1966 |
Editeur moderne | Lely, Gilbert |
Date de reprint |
, p. 392
A l’inspection du morceau, on reconnaît facilement qu’il n’a pu être saisi au ton de vérité dont il est, sans que le modèle fût effectivement sous ses yeux, lié et garrotté. Reste à savoir s’il l’a vraiment crucifié pour saisir sur la nature même ces instants précieux de vérité qu’on ne peut trouver que là. Peut-être eût-il bien fait de le faire pour atteindre à la perfection. Mais le morceau n’y est pas et je ne crois pas conséquemment qu’il l’a fait, parce que Michel-Ange, comme un autre, avait des préjugés et le préjugé fut et sera toujours l’écueil du vivant.
Dans :Parrhasios, Prométhée(Lien)